fortunes colossales pour être accréditée a y pénétrer ?
-Votre manière de penser prouve que notre secret ne s'est pas aussi éventé,
dans la population, que certains d'entre nous ne le prétendent."
Zyner pose alors sa main sur un analyseur d'empreintes digital et après
quelque BIP sonores de l'appareil la porte s'ouvre, une lumière totalement
aveuglante pénètre instantanément dans le couloir.
Après la traversée de secteurs interdits aux civils Sirion est conduit dans le
sous sol dans bâtiment où il se retrouve étendu sur une table entre des
arceaux métalliques. Le colonel se penche au dessus de son visage.
"-Vois-tu, jeune homme imprudent, il y a bien des siècle un certain
philosophe pensait que l'on pouvait mesurer le degrés de modernité d'une
civilisation par l'élaboration de ses méthodes de torture. Ainsi tu dois te
douter que l'homme moderne possède des moyens tout à fait effroyables. Et
pour ne rien te cacher à l'heure actuel tu es couché sur l'un de mes préférés.
Il y a derrière toi un canon à électron, son faisceau va allé percuter ses
anneaux en métal pour créer des rayonnements gammas à de haute énergie
qui vont tous convergés vers des points précis de ta peau. C'est en quelque
sorte une explosion atomique qui ne te détruirai que cellule par cellule, j'ose
à peine imaginer la douleur de la brûlure ainsi infligée. Tu t'épargnerais
bien des souffrances en répondant calmement à nos questions. Sur ces
bonnes recommandations commençons, d' après mes gardes l'homme mort
sur cette photo commandait votre petite expédition, je veux savoir qui il est !
A la vue de l'image Sirion sentit monter en lui une fureur indescriptible.
-C'EST MON PERE ESPECE D'ENFOIRE ET JE TE FERAIT PAYER AU
CENTUPLE LE PRIX DE SA MORT !!!
-Soldat veuillez faire comprendre à cet insolent que ses propos déplacés ne
feront que remplacer sa souffrance intérieur par une douleur des plus
physiques.
A peine ces mots prononcés, le soldat met en route l'appareil, et c'est dans
une lumière bleu éblouissante qu'une odeur de chaire brûlée se répand dans
la pièce. Le hurlement que Sirion ne peut s'empêché d'émettre n'a rien
d'humain. La zone irradiée ne fait a peine que quelques centimètres et n'est
gère profonde pourtant il s'agit du pire instant que Sirion à l'impression
d'avoir passé depuis sa naissance car s'y ajoute en plus le l'image du cadavre
de son père qui ne veut pas sortir de son crâne.
-Allons allons, nous ne faisons que commencer, dis toi qu'avant que tu ne
meurt nous pouvons encore répéter l'expérience près d'un centaine de fois,
alors tu vas me dire où sont restés tes petits copains qui ne se sont pas joints
à la fête de cette nuit.